L'annonce est venue ce matin, dans la salle de projection de l'Institut Lumière, par la voix de Thierry Frémaux : Gérard Depardieu est le lauréat du Prix Lumière 2011 ! Une belle récompense que ce géant du cinéma se verra remettre à Lyon lors de la 3e édition du festival Lumière. Jeune mais déjà populaire, cet évènement a fait plus de 75000 entrées l’an dernier, dont la moitié dans les 34 salles partenaires du Grand Lyon.
La figure du Prix Lumière 2011 – premier Français récompensé dans le cadre de ce festival après Clint Eastwood et Milos Forman – va beaucoup faire parler de cet évènement tout entier consacré à l’amour du cinéma. La qualité des œuvres et l’esprit qui a guidé dès son ouverture ce festival également. Ces grands évènements culturels sont essentiels pour la vitalité, l’attractivité, le rayonnement de notre métropole. Celui-ci s’inscrit dans le sillon des frères Lumière, de ceux dont les inventions ont changé le monde et continuent d'inspirer les industries de demain. Il entre en correspondance avec d’autres grands rendez-vous métropolitains, comme Cartoon Movie par exemple, avec d’autres acteurs de notre territoire, comme les entreprises du pôle Pixel et du cluster Imaginove. Il rythme une rentrée intense avec cette année une 11e Biennale d’Art Contemporain conçue en ce moment-même à Buenos Aires par la commissaire Victoria Noorthoorn et ses équipes comme un grand dialogue entre des dizaines d'artistes d’Europe, d’Afrique, d’Amérique latine invités à Lyon. Le festival Lumière fait partie de ce paysage culturel et intellectuel que nourrissent à Lyon ces évènements internationaux : les biennales, la Fête des Lumières, Quais du Polar, les Nuits Sonores, les Assises Internationales du Roman en mobilisant l'ensemble des acteurs du Grand Lyon. C’est à partir de ces synergies que nous réussissons à faire émerger le sentiment d’appartenance à une même communauté de vie, à une même communauté de destin entre tous les habitants de la métropole. C'est grâce au travail des équipes qui m'entourent, de Nadine Gelas et de Georges Képénékian, de tous ceux qui portent ces projets, que nous progressons dans cette voie. C’est pour moi un aspect essentiel de notre mission de service public. Faire se rencontrer les uns et les autres, les faire dialoguer et ainsi, mieux se connaître, mieux se comprendre et s’enrichir mutuellement. C’est en ces périodes parfois difficiles que ces engagements résonnent d’un écho particulier.
La figure du Prix Lumière 2011 – premier Français récompensé dans le cadre de ce festival après Clint Eastwood et Milos Forman – va beaucoup faire parler de cet évènement tout entier consacré à l’amour du cinéma. La qualité des œuvres et l’esprit qui a guidé dès son ouverture ce festival également. Ces grands évènements culturels sont essentiels pour la vitalité, l’attractivité, le rayonnement de notre métropole. Celui-ci s’inscrit dans le sillon des frères Lumière, de ceux dont les inventions ont changé le monde et continuent d'inspirer les industries de demain. Il entre en correspondance avec d’autres grands rendez-vous métropolitains, comme Cartoon Movie par exemple, avec d’autres acteurs de notre territoire, comme les entreprises du pôle Pixel et du cluster Imaginove. Il rythme une rentrée intense avec cette année une 11e Biennale d’Art Contemporain conçue en ce moment-même à Buenos Aires par la commissaire Victoria Noorthoorn et ses équipes comme un grand dialogue entre des dizaines d'artistes d’Europe, d’Afrique, d’Amérique latine invités à Lyon. Le festival Lumière fait partie de ce paysage culturel et intellectuel que nourrissent à Lyon ces évènements internationaux : les biennales, la Fête des Lumières, Quais du Polar, les Nuits Sonores, les Assises Internationales du Roman en mobilisant l'ensemble des acteurs du Grand Lyon. C’est à partir de ces synergies que nous réussissons à faire émerger le sentiment d’appartenance à une même communauté de vie, à une même communauté de destin entre tous les habitants de la métropole. C'est grâce au travail des équipes qui m'entourent, de Nadine Gelas et de Georges Képénékian, de tous ceux qui portent ces projets, que nous progressons dans cette voie. C’est pour moi un aspect essentiel de notre mission de service public. Faire se rencontrer les uns et les autres, les faire dialoguer et ainsi, mieux se connaître, mieux se comprendre et s’enrichir mutuellement. C’est en ces périodes parfois difficiles que ces engagements résonnent d’un écho particulier.
2 commentaires:
excellent :) que du bonheur !!!
Monsieur Collomb, je vous ai entendu sur internet hier dans le talk du figaro. Je ne comprends pas votre position : pourquoi ne pas appeler clairement à voter pour Hollande aux primaires ? Ne nous dites pas que Martine Aubry pourrait avoir vos faveurs après les passes d'armes légendaires que vous avez eues avec elle depuis le calamiteux congrès de Reims. Il est temps pour vous de nous donner des gages clairs de votre soutien au vrai camp réformiste, celui de François Hollande.
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