" Enfin libres ! "
La libération d'Hervé Ghesquière, de Stéphane Taponier et de leurs trois accompagnateurs afghans est un immense soulagement. Ces journalistes avaient été enlevés le 29 décembre 2009 dans la vallée de la Kapisa, en Afghanistan, alors qu'ils réalisaient un documentaire pour le magazine d'investigation "Pièces à Conviction" diffusé sur France 3. La fin de leur détention marque une victoire pour la liberté d'expression et pour les valeurs de démocratie.
Mes pensées vont vers eux, leurs familles, leurs amis, vers les membres de leur comité de soutien et tous nos concitoyens mobilisés depuis des mois pour exiger leur mise en liberté. Je leur souhaite un bon retour sur notre sol en mesurant l'étendue de l'épreuve qu'ils viennent d'endurer dans ce qui marque une des plus longues détentions depuis les otages au Liban dans les années 1980. Je pense également aux autres Français encore détenus dans divers coins du monde, en particulier aux trois membres de l'ONG lyonnaise Triangle Génération Humanitaire, deux femmes et un homme, faits prisonniers le 28 mai dernier au Yémen et dont nous avons été informés hier qu'ils seraient vivants et localisés. Ces humanitaires ont été portés disparus dans la province désertique du Hadramaout alors qu'ils travaillaient à la remise en état d'infrastructures dévastées par des inondations en 2008. "La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre" écrivait Camus. Puissent ces otages recouvrer eux aussi la liberté.
Mes pensées vont vers eux, leurs familles, leurs amis, vers les membres de leur comité de soutien et tous nos concitoyens mobilisés depuis des mois pour exiger leur mise en liberté. Je leur souhaite un bon retour sur notre sol en mesurant l'étendue de l'épreuve qu'ils viennent d'endurer dans ce qui marque une des plus longues détentions depuis les otages au Liban dans les années 1980. Je pense également aux autres Français encore détenus dans divers coins du monde, en particulier aux trois membres de l'ONG lyonnaise Triangle Génération Humanitaire, deux femmes et un homme, faits prisonniers le 28 mai dernier au Yémen et dont nous avons été informés hier qu'ils seraient vivants et localisés. Ces humanitaires ont été portés disparus dans la province désertique du Hadramaout alors qu'ils travaillaient à la remise en état d'infrastructures dévastées par des inondations en 2008. "La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre" écrivait Camus. Puissent ces otages recouvrer eux aussi la liberté.
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