Je
lis dans « Tribune de Lyon » que M. Philippe Meirieu s’inquiète du
fait que je ne l’ai pas appelé depuis qu’il a annoncé sa candidature aux
prochaines élections législatives à Lyon.
Si
Philippe Meirieu souhaitait être candidat à Lyon avec mon soutien, le mieux aurait
été qu’il en parle avec moi plutôt que je ne l’apprenne en lisant une interview
dans la presse locale.
C’est en tout cas ainsi que nous procédions avec Gilles Buna quand en 1995 nous avons composé pour la première fois, une liste de ce que l’on a appelé depuis la gauche plurielle.
Il
est vrai que je n’ai jamais imaginé que M. Meirieu puisse prétendre représenter
Lyon.
J’ai
en effet suivi d’assez près les votes qu’il émettait à la Région (voir quelques
exemples ci-dessous). Voter systématiquement contre les subventions à toutes les
grandes institutions culturelles lyonnaises, contre le financement des pôles
majeurs de la recherche, contre les rapports présentés dans les Conseils
d’administration de nos universités par leurs exécutifs… ne me semble pas
prédisposer à solliciter les suffrages des lyonnais.
Dès
lors, il ne s’étonnera pas que j’aie pu exprimer ma volonté de soutenir, dans
la 1ère ou la 2ème circonscription du Rhône qu’il dit
viser, des membres de la majorité municipale qui ont, eux, concouru au succès
que connaît aujourd’hui notre agglomération.
1 commentaire:
Vivement que le PS en finisse avec les Khmers verts !!!
Si Hollande cède sur l'EPR ou l'aéroport de Nantes, et contribue ainsi au renchérissement de la facture énergétique des plus démunis ainsi qu'au déclin industriel de la France, plus jamais je ne voterai à gauche.
Enregistrer un commentaire